Garéguine Njdeh (Ter-Haroutunyan Garéguine Yeguichévitch ) est l’un des héros nationaux de l’Arménie et des arméniens. Il n’est pas étonnant, que certain faits de la vie personnelle et des activités de Njdeh sont dissimulés par les biographes arméniens. Njdeh est vraiment un homme unique dans son genre même dans l’envergure arménienne : capo, sadique, criminel de guerre, fasciste et politique.
Il est de règle en Arménie qu’une personne ayant « un grand dossier » soit déclarée héros. Njdeh a réussi d’établir ce dossier qui consiste en organisation et participation aux nettoyages ethniques, massacres de la population paisible, collaboration avec les fascistes, prostitution politique exposée qui en résulte et beaucoup d’autres. Il y est parvenu au mieux.
Quand Njdeh «se battait » contre l’Empire Ottoman il y a eu des ouï-dire qu’il avait des problèmes psychiques. On remarquait lui émerger les penchants sadiques mêlés à la mégalomanie. Ces complexes de Njdeh allaient progresser au futur et prendre des formes plus laides.
Voila ce qu’une source écrit sur Garéguine au début de sa « carrière » (Première guerre de Balkan) : «le 15 novembre 1912, l’un des détachements arméniens sous le commandement d’un jeune arménien Garéguine Njdeh entre dans le village turc Megramli. Le détachement y organise une bataille sanglante.
Il est de règle en Arménie qu’une personne ayant « un grand dossier » soit déclarée héros. Njdeh a réussi d’établir ce dossier qui consiste en organisation et participation aux nettoyages ethniques, massacres de la population paisible, collaboration avec les fascistes, prostitution politique exposée qui en résulte et beaucoup d’autres. Il y est parvenu au mieux.
Quand Njdeh «se battait » contre l’Empire Ottoman il y a eu des ouï-dire qu’il avait des problèmes psychiques. On remarquait lui émerger les penchants sadiques mêlés à la mégalomanie. Ces complexes de Njdeh allaient progresser au futur et prendre des formes plus laides.
Voila ce qu’une source écrit sur Garéguine au début de sa « carrière » (Première guerre de Balkan) : «le 15 novembre 1912, l’un des détachements arméniens sous le commandement d’un jeune arménien Garéguine Njdeh entre dans le village turc Megramli. Le détachement y organise une bataille sanglante.
A l’ordre de Njdeh on amène deux adolescents turcs dans la maison de paysan, où Njdeh installe son siège provisoire. Ils restent toute la nuit avec Njdeh. Le lendemain il les tue en les fusillant de ses propres mains».
Il ne faut pas avoir une imagination particulière pour comprendre de quoi il s’occupait avec eux et pourquoi il les a fusillés sans confier cette tâche aux autres.
Il ne faut pas avoir une imagination particulière pour comprendre de quoi il s’occupait avec eux et pourquoi il les a fusillés sans confier cette tâche aux autres.
Cela explique le fait, que Njdeh ait tenu en qualité d’adjudants des jeunes hommes grands et sympathiques.
Après ses exploits au théâtre des opérations de Balkan, ayant déjà une certaine « gloire», Njdeh prend une part active à la première guerre mondiale du côté de l’armée impériale. Il est l’adjoint au commandant du deuxième détachement des volontaires Drastamat Kanoyan ( général Dro).
Ici aussi Njdeh se distinguait par sa cruauté particulière et sadisme par rapport à la population locale et les kurdes.
Á la fin de la première guerre mondiale Njdeh se trouve sur le territoire de l’Arménie où le gouvernement dachnak lui trouve rapidement une occupation, tenant compte de ses «mérites». Il est chargé d’organiser les nettoyages ethniques des azerbaïdjanais, peuplant ces territoires.
Avec la même mission Garéguine Njdeh va à Zanguezour où sous sa direction s’accomplit le génocide du peuple azerbaïdjanais. Des milliers d’habitants paisibles avaient été tué , des dizaines de milliers ont abandonné des terres natales et étaient obligé de s’évader de Zanguezour.
Ici, souffrant de mégalomanie infatigable, Garéguine «crée» la république d’Arménie montagnarde et se proclame de « Sparapet ». Toute la période de sa domination à Zanguézour est suivie d’attaques de ses bandes aux villages azerbaïdjanais à Nakhitchevan et Karabakh.
Les arméniens sont fiers de Njdeh, en remarquant qu’il a expulsé les azerbaïdjanais. Njdeh lui-même avait l’habitude de se venter de ses « mérites ».
Voici ce que Pogos Ter-Davtian, natif du village arménien de Zanguézour et le chef des bandes arméniennes, écrivait concernant les évènements à Zanguézour dans sa lettre, adressée à Simon Vratsian, dernier premier ministre de la république démocratique d’Arménie :
« Qui n’est pas au courant de la lâcheté de Njdeh ?! On peut se trouver au Monastère de Tatev et se venter du fait d’extermination de 32 villages tatars (azerbaïdjanais). Mais je sais qui est Njdeh. Quand je me trouvais à ses côtés, il me faisait plusieurs fois des propositions insolites. J’ai pitié pour vous. Vous avez comme supérieur un homme d’apparence masculine qui est en réalité une prostituée de rue ».
Njdeh s’enfuit à l’étranger après sa défaite définitive à Zanguézour. Dans les années 30 Njdeh s’installe aux Etats-Unis où il crée une organisation ultra droite d’orientation fasciste, nommée « Tseghakron ».
Ici il avait l’intention de tuer l’ambassadeur de Turquie, mais peu de temps après il déménage en Allemagne sous la protection d’Alfred Rosenberg, chef de la Direction des relations extérieures NSDAP. Ici il s’occupe en commun avec le général Dro de la formation des détachements militaires arméniens pour la guerre contre l’URSS. Il est membre du «Conseil national arménien », créé par les fascistes.
En 1944, ayant compris que l’Allemagne a perdu la guerre, Njdeh a changé d’orientation politique. Il passe des fascistes aux communistes et écrit une lettre à Staline. Dans sa lettre il tente de justifier sa conduite et ses crimes. En manifestant ses « meilleures qualités », il diffame son compagnon d’armes d’hier le général Dro (Drastomat Kanoian), le qualifiant de traître et de criminel, malgré qu’ils s’occupaient du même travail.
Cependant, la direction soviétique ne croit pas aux assurances et aux demandes de Njdeh. On l’arrête.
Pendant le tribunal on lui a rappelé ses crimes à Zanguézour : villages incendiés, ses commandes de jeter les gens de la falaise Tatev. Les enquêteurs soviétiques ont porté aussi attention à l’activité de Njdeh aux Etats-Unis. Ainsi, on note dans l’acte d’accusation: « En 1933 l’accusé Ter-Haroutunyan Garéguine Yeguichévitch partait régulièrement en Amérique, où il fondait l’organisation de jeunesse dachnak «Tsegakron», qui pronait le rasisme et était essentiellement une organisation de jeunesse fasciste ».
Avec cela, il faut souligner, que l’enquêteur de Njdeh était arménien, majeur Melkoumian, chef de la 3e division de la 1ère direction du Ministère de la Sécurité Nationale de la RSS d’Arménie.
Njdeh a été condamné à 25 ans. Il est décédé dans la prison de la ville de Vladimir le 21 décembre 1955.
Bien entendu, les biographes de Njdeh ont retiré plusieurs pages de la biographie du héros. En fait, on ne peut pas tromper l’histoire en rejetant ses pages. Ce n’est qu’une tentative de dissimuler la vérité du monde, y compris des arméniens eux-mêmes.
Tout le monde et les arméniens y compris ont le droit de connaître tous les côtés de la biographie de Garéguine Njdeh.
Le déplacement sans cesse de Njdeh dans différents camps politiques et militaires, ses changements d’orientation multiples signifient que durant toute sa «carrière» il jouait le rôle de « pute politique ». De sa propre volonté il était fantoche dans les mains des forces différentes.
Ses problèmes psychiques (sadisme, cruauté injustifiée, mégalomanie) et sexuels (penchant pour les représentants du même sexe) sont un sujet à part. A mon avis, les chercheurs seront intéressés d’éclaircir comment l’existence de ces problèmes ont influencé la vie et les actions de Garéguine Hjdeh.
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